LYRIC / PARODDI / PARULLE / CANTI
Quel est ce roc abandonné, où vont ces voiles fugitives ?
L’Angleterre a-t-elle donc pardonnée ? Non, le captif est sur ses rives.
Et tranquille désormais, Il ne secouera plus sa chaîne…
Il dort, il dort à tout jamais, sur le rocher de Sainte-Hélène
Il mesura de son regard tous les déserts de l’Arabie.
Les rochers du grand Saint-Bernard et les glaçons de la Russie.
L’univers qu’il a parcouru, semble devenir son domaine.
Tant de grandeurs ont disparu, sur le rocher de Sainte-Hélène.
Je ne puis vous embrasser tous, dit-il à ses compagnons d’armes.
J’embrasserais bien le drapeau, ses mots lui firent couler des larmes.
Je veux qu’il flotte sur mon tombeau, avec mon aigle et ma vieille garde.
Mon île les faisaient trembler encore, sur le rocher de Sainte-Hélène.
Réécris et interprété par Tony Toga
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